IDEALTAUX était invité au séminaire de rentrée des BTS Négociation et Digitalisation de la Relation Client à Hirson. L’occasion était belle pour identifier les talents de demain et surtout sensibiliser ces étudiants à un métier aux facettes encore méconnus.
« Les formations courtes types BTS ou DUT sont une pépinière. Une véritable filière d’excellence ! C’est un vrai laboratoire pour les emplois. Je veux susciter cela au sein de mon entreprise. En coopérant avec des enseignants et élèves motivés, j’ai décidé d’aller à la source pour recruter mes futurs commerciaux. Cela suppose un suivi précis et régulier. Ca en vaut franchement la peine. Qui plus est lorsqu’un jeune est dans un territoire un peu isolé. Leur énergie et ambition sont débordantes » expliquait Hugo Maurel, président D’IDEALTAUX.
Pas question d’attendre qu’ils soient diplômés. Il faut créer des vocations dès les premières semaines de formations supérieurs.
Tout au long de ce rdv, il a été question de « l’emploi ». Ecumer toutes les pistes qui mèneront à un métier ou une formation professionnelle spécialisée après un bac +2.
Pas de langue de bois, et encore moins une fatalité à l’échec quand il a fallu aborder leur avenir.
« Quelques minutes auront suffi pour délier les langues et dérider les plus réservés. J’ai déjà identifié quelques candidats » confiait Hugo Maurel.
La transition entre la vie scolaire et le monde du travail n’est pas forcément évidente pour ces jeunes.
Avoir envie d’avoir envie, ne se résume pas à une lecture théorique d’un bouquin ou d’un cours magistral.
C’est là toute l’audace de cette enseignante qui souhaite que l’entreprise soit la pierre angulaire de son BTS. L’accompagnement de quelques pros est une opportunité dans le schéma qu’elle propose à ses BTS.
IDEALTAUX s’inscrit dans cette action en faveur des jeunes.
« Il faut dénaturer tout cela. Les accompagner pour faciliter l’accession aux métiers de demain. A ma grande surprise, cette génération a l’ambition d’entreprendre et la création d’entreprises n’est plus réservé à une élite. Ils ont une mine d’énergie et une confiance lorsque leurs études prennent du sens » se satisfait Hugo Maurel.
